Chez Haku

Il était déjà plus de 8h00 lorsqu'Haku se réveilla en sursault. Il se leva et se dirigea vers la fenêtre de sa chambre. Le temps était propise à l'orage mais rien ne laisa y paraitre. Haku descendit les escaliers tous en ratachant ses longs cheveux puis pris une pomme en guise de petit déjeuner. Cinq minutes plus tard, on frappa a sa porte.

"Je croyais que persone ne savait où jétais, a part le junin qui m'a emmener ici, pensa le garçon encore un peu endormi"

Haku se dirigea vers la porte en disant :

" - Qui est ce ?
- C'est le garde qui ta emmener ici hier.
- D'accord entrez, affirma Haku sur un ton enerver.
- Est-tu prêt pour ton rendez-vous avec le Mizukagé.
- Et pourquoi je ne le saurais pas hein ?
- T'énerves pas petit chunin tu ...
- Quoi moi petit, coupa Haku vraiment en colère.
- Quelque soit ton humeur, soit a 11h devant le bureau du Mizukage.
- Oui j'y serait. repondit Haku tout en referment sa porte."

Haku avait enfin son rendez-vous avec le chef de Kiri.

"Depuis le temps que j'attends ce moment, je vais enfin pouvoir exprimer mes talents et peut être que cette importante personne me donnera une mission à hauteur de ma réputation"

Sur cette pensé, Haku parti en direction de son salon, prit un livre sur son étagère et s'installa dans un fauteuil blanc, et commença sa lecture.

Plonger dans sa lecture, le temps passa si vite que lorsqu‘Haku releva les yeux pour regarder sa pendule, il s‘aperçu qu‘il était 10h45.

"Je vais être en retard ! "

Haku se leva, reposa son livre sur la table basse et se dirigea vers l’entrée de sa maison. Il s’enveloppa dans un large manteau bleu délavé et commença à ouvrir la porte en prenant soin de ne pas oublier son bandeau de ninja. Il sortit et verrouilla à double tours, sa porte. Il faisait vraiment froid qu’Haku serra encore plus son manteau contre lui quand soudain, il leva la tête vers le ciel et fît un mouvement de lèvre comme si il avait oublier de prendre quelque chose. En effet il avait oublier son masque d’ANBU pour passer inaperçu auprès des citoyens de Kiri. Il rouvrit la porte et monta les marche de son escalier quatre à quatre et ramassa son masque sur le lit. Redescendit presque aussi vite qu’il était monté, refermât la porte.